
Au delà de cette particularité grammaticale, le iota, aussi minuscule qu’il soit, n’a jamais varié et bien au contraire a imprimé sa marque dans l’évolution du grec vers sa version moderne puiqu’il est le responsable du iotacisme dont la définition exacte est : « évolution d’une voyelle ou d’une diphtongue vers le son [i] ».
En gros, le « i » l’a emporté sur nombre de sons qui, en grec ancien, avaient chacun leur propre écriture… Aujourd’hui, η, υ,ει, ηι, οι, υι, tout ce petit monde se prononce « i », comme le iota d’origine. Droit comme un i, le iota mène son monde phonétique à la baguette, empereur alphabétique sans conteste d’un troupeau de voyelles soumises.


Comme un point sur le i, le texte avec ces chouettes paragraphes est parfait. Pas de iota qui tienne
Je t’avais promis !