Dans 95% des cas, lorsque j’écris sur ce blog, c’est parce que j’ai envie de vous raconter une histoire intéressante culturellement (à la fin de l’année, je vous préviens, il y aura interro écrite sur les dieux et la mythologie grecque), soit parce que je veux vous faire sourire un peu (Florence Foresti c’est moi ou presque…) ou parce que je veux partager avec vous les beautés et les intérêts de mon pays d’accueil (j’ai fait Guide du Routard en 2e langue option Lonely Planet, approfondissement trip advisor). (suite…)
Il paraît que prendre des résolutions c’est « so-outdated » mais la rebelle qui sommeille en moi a décidé de n’en prendre qu’une : celle de remonter dans mon auto-estime sportive (et de ne pas ressembler à un chamallow en maillot de bain)… Au cours des 2 années qui viennent de s’écouler, ma pratique du sport et, en l’occurrence du footing, a été mise à mal en premier lieu par le climat de Dubaï qui se prête relativement mal à des activités extérieures intenses. Environ 9 mois sur 12, il fait CHAUD, très CHAUD. A cela, les rabats-joie me répondront au choix a) « tu n’as qu’à y aller tôt » Sauf que sortir à 6h du lit pour aller courir s’apparente dans mon esprit à une forme de masochisme exacerbé plutôt qu’à un plaisir toujours renouvelé (oui je veux faire du sport par plaisir) b) « tu prends un abonnement dans une salle et tu cours sur les tapis ! » Et décéder d’ennui ? Certainement pas ! Courir pour ne jamais avancer, quel non-sens ! En arrivant à Athènes, j’y ai vu un avantage certain, celui de pouvoir recommencer à courir sous des cieux plus cléments. Foie gras et bûche obligent,ma motivation post-fêtes était au plus haut et, folle que je suis, j’ai même choisi début janvier un programme d’entraînement dans mon appli de running, histoire d’avoir un objectif clair… Au taquet, j’étais, la Force en moi il y avait… Je vous raconte ? (suite…)
Les Atrides, vous connaissez ?... Evidemment, si vous allez faire un tour à Mycènes, vous ne pourrez que faire leur connaissance car c'est d'Atrée, le roi de Mycènes que la…
A peine 2 mois de présence et des visiteurs potentiels commencent déjà à se manifester. Proximité avec la France, dépendance aux îles dont le nom finit en -os, chat-philie exacerbée,…
Un peu éprouvés par notre début d’année scolaire mouvementé, nous avions décidé que nous passerions les congés de Noël en Grèce, en famille. Bien nous en a pris car ce furent les vacances de Noël les plus reposantes qui soit, l’activité la plus fatigante consistant en descendre ou remonter les marches de la maison pour rejoindre qui sa chambre (la Drama Teen), qui la télé (les garçons), qui le canapé du salon (moi) avec des actes de bravoure du Mâle qui a fini, moins d’un mois après l’installation officielle, à accrocher au mur tout ce qui devait l’être, y compris des objets qui n’avaient pas eu cette chance, en 5 ans d’expatriation ! Nous avons donc tranquillement profité de nos journées pour y débusquer plein de petits plaisirs donc… (suite…)
β, le bêta, est un filou car sous ses faux airs de B (lorsqu’il est écrit en majuscule), il se prononce « V » en grec moderne ce qui m’a donc permis de découvrir, dans un éclair de génie fulgurant quoiqu’un peu tardif, que Vassilis, un prénom grec très courant, était donc l’équivalent de notre français Basile ! Pourquoi Vassilis me direz-vous ? Figurez-vous qu’ici Saint Basile (Agios Vassilis, Aγιος Βασίλης) est très important puisque c’est l’équivalent du Père Noël et qu’il apporte les cadeaux pendant la nuit du Nouvel An. Les enfants, afin de préparer sa venue, font le tour des maisons pour chanter en s’accompagnant d’un triangle ou d’un flûte et récupérer au passage un petit sous ce qui ponctue la journée du 31/12 de coups de sonnette que, assez lâchement, nous avons pour une partie ignorés surtout quand (suite…)