Balos Lagoon
La Crète c’était comment ? #1
Le Mâle a dû un peu batailler parce que, à moi, cela ne disait rien. La Crête, je l'imaginais comme un déversoir à bateaux de touristes, casquettes sur la tête…
À Athènes, j’aime #3
Après la version 1 en mode "j'ai froid, je suis installée dans un appartement pourri mais je résiste" et la version 2 en mode "je suis dans ma maison, je range, j'ai…
Du nouveau !
Ménage de printemps et vie nouvelle font que www.motsdicidailleurs.com deviendra bientôt www.expatographies.com, toujours des mots, des chroniques et de la culture avec aussi un peu d'humour, de la râlerie à…
Temple d'Hephaïstos
Ancienne Agora
Après l'Acropole, nous sommes partis vers le nord-ouest en direction de l'ancienne Agora. Ne cherchez pas, aucune logique particulière à cela si ce n'est que nous supputions la proximité près de…
MyPicture#3
Nous étions à peine installés dans la maison. Les derniers cartons venaient tout juste d'être vidés. J'étais perclue de courbatures d'avoir monté et descendu les 4 niveaux de la maison depuis…
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Péloponnèse #3
J’ai failli oublier de terminer notre virée de 3 jours dans le Péloponnèse : après Corinthe et Melagavi puis Mycènes et Nafplio, il ne nous restait plus qu’à visiter Épidaure (inscrit au Patrimoine Mondial de l’UNESCO) et son fameux théâtre.
Autant Mycènes ne nous avait pas semblé la panacée en terme de ruines, autant Épidaure vaut vraiment la peine que l’on s’y rende même, lorsque (et c’était notre cas), le soleil avait décidé de ne pas jouer dans la pièce ! Point positif, nous étions quasi-seuls et nous avons pu expérimenter, grâce à notre Drama-Teen, courageusement restée en bas alors que nous escaladions les gradins, l’acoustique exceptionnelle du lieu. (suite…)
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Geek (ou pas)
Etre blogueuse, c’est un réel engagement, une implication de tous les moments. On m’imagine peut-être en train de taper négligemment des billets en quelques minutes de mes ongles parfaitement manucurés, un thé fumant à côté de moi dans une jolie tasse vintage, sur un bureau au style dépouillé. Dans la vraie vie, il n’y a que le thé qui est réel, le Mâle soupire tous les soirs devant l’état du bureau sur lequel la souris a du mal à se frayer un chemin, mes mains ne sont que cuticules et désquamation dans les rigueurs de l’hiver athénien et mes billets sont en général assez laborieux à produire. Et puis ce n’est que la face cachée de l’iceberg, derrière la vitrine des billets se cache toute une machinerie technologique qu’il faut entretenir et faire fonctionner. (suite…)
